Car c'est au cours d'une recherche sur Google que je découvris les joies du journal virtuel. Je ne cherchais pourtant qu'un questionnaire sur Le journal d'un fou, de Nicolas Gogol en espérant ne pas avoir à en pondre un moi-même pour mes élèves. Je tombai sur le journal de je ne sais plus qui, où un commentateur s'écriait "Trop fort, ton questionnaire, c'est vraiment un truc de fou, mdr!!!"

J'en fus quitte pour passer la soirée à peaufiner un questionnaire de mon cru, mais j'avais été atteinte par le virus jouebbeur et je ne sais toujours pas pourquoi je l'écris avec deux b, on dira que c'est une licence poétique...

C'était un sombre soir de septembre, avec un peu d'imagination, c'eut pu être chanté par Barbara et cela donna naissance aux Larmes-du-Saule.